La 10e édition du Congrès de la FEPS (Fédération des écoles professionnelles en sophrologie) s’est tenue ce week-end au Centre des congrès de Lyon. Un formidable rendez-vous auquel ont assisté plus de 600 sophrologues et qui a permis de riches échanges et interactions.
Durant deux jours, conférences et séminaires ont rythmé un programme bien dense, rehaussé de la présence d’orateurs de prestige comme la professeure de psychologie positive française Florence Servan-Schreiber, Alain Le Caro, ancien directeur du GIGN (groupement d’intervention de la gendarmerie nationale), lui-même sophrologue ou encore Idriss Aberkane, essayiste français spécialisé dans les neurosciences auteur, en 2016 de l’essai à succès «Libérez votre cerveau» et qui présentait son dernier ouvrage «L’âge de la connaissance – Traité d’écologie positive».
Les débats ont permis de montrer, par des exemples très concrets, ce que la sophrologie est capable d’apporter dans divers domaines d’intervention : le sport, l’entreprise, le social, mais aussi l’univers carcéral.
Ce fut aussi l’occasion de faire le point sur les avancées des travaux de recherche du GES (groupe épistémologique de la sophrologue), qui vise à reconnaître la sophrologie comme science humaine s’appuyant sur des fondements scientifiques.
Pour la première fois dans l’histoire de ce congrès, un village d’exposants réunissait fournisseurs et partenaires des sophrologues, tels syndicats, assurances, webmasters, associations…
Bref : deux jours passionnants, d’échanges, de questionnements et de rencontres qui montrent que la sophrologie a toute sa place dans un monde parfois un peu trop rigoriste et cartésien.
(Photo: FEPS)